POLEMIQUE-POLEMIQUE-POLEMIQUE



VOIR EGALEMENT : Quand le lobby pro-israélien se déchaîne contre l’ONU, de Bruno Guigue
PARISOT FACHEE AVEC LES CHIFFRES

La Présidente du MEDEF est une adepte des spectacles où à partir de graphiques et de chiffres projetés sur écran et devant un parterre acquis à sa prose elle propose des scénarios où la rigueur pour les plus pauvres est la règle, et la fortune pour les plus riches est la condition pour développer l' économie.
Pourtant derrière ce vernis le MEDEF et Mme Parisot disent le plus souvent à peu près n'importe quoi.


Ainsi dans son n° 575 de " Protection Sociale du mois de janvier 2007 " le livre blanc du MEDEF est sévèrement épinglé pour les libertés qu'il prend avec les données chiffrées. " Plus de la moitié des déficits de l'assurance maladie proviennent de l'hôpital public : il en est le premier poste de dépenses ; il est aussi celui qui progresse le plus vite, plus de 4 % par an. ".
L'hôpital public était, en 2005, le second poste de dépenses (37,9 %) derrière les soins de ville (46 %), et la progression de ses dépenses (+ 4,3 %) était bien inférieure à celle des cliniques (+ 5,9 %) et établissements médico-sociaux (+ 7,7 %). (Source : rapport de la Commission des comptes de la Sécurité sociale).

" Notre système est un système dit par répartition…Dans les années 60, ce mécanisme fonctionnait à merveille. Il y avait un actif pour un retraité…Aujourd'hui le système se trouve dans une impasse. On compte un actif pour deux retraités… ".
En 1960, la France comptait environ quatre actifs pour un retraité . Aujourd'hui le ratio est de 2,2 actifs pour un inactif de plus de 60 ans, et il devrait passer à 1,3 - 1,4 actifs en 2050. (Source : rapports du Conseil d'orientation des retraites).

Ces exemples montrent que le MEDEF qui constitue la matière grise des programmes de M. Sarkozy, M. Bayrou et M. Le Pen (en l'occurrence la réforme de l'assurance maladie et des retraites) n'hésite pas à falsifier les chiffres pour justifier ses propositions

COUP DE COLERE

Jean Michel Apathie est chroniqueur à RTL, LCI et à d’autres journaux. Il anime les rendez vous LCI-Le Figaro-RTL, le trio des entreprises du CAC 40, de Bouygues, et de Dassault, l’empire des entreprises où l’argent est roi et ou l’homme n’est rien.
Jean Michel Apathie est un journaliste de Droite et c’est bien normal, les maîtres ont besoin de valets dociles et malléables. Il est bien payé pour ses services. Journaliste médiocre, connaissant très souvent mal ses dossiers il parade quotidiennement sur les ondes de RTL et sur la télévision.

Il veut se donner une image d’homme de bon sens populaire et ouvert.

Pourtant dans son Blog il a laissé éclaté sa haine des communistes. Il a écrit à propos de la candidature de MG Buffet et du PCF : « Il faut savoir que en 2002, le candidat du parti communiste, Robert Hue, avait crevé le planché: 3% plus quelques poussières. Il faut savoir que le parti communiste vit sous tente à oxygène depuis vingt ans.
Sans l'amabilité des socialistes qui font élire maires et députés communistes aux différentes élections, il y a longtemps qu'il aurait été rayé de la carte.L'objectif de Marie-George Buffet au début de son aventure présidentielle n'était pas très ambitieux: faire mieux que Robert Hue. Avec la candidature Bové, cet objectif minimaliste risque bien de ne pas être atteint.
Un jour, il n'y aura plus personne dans le très moche immeuble de la place du Colonel-Fabien. Pour être complet dans l'analyse, ceci n'est pas forcément une bonne nouvelle pour les socialistes.
C'était un allié commode, le parti communiste. Toujours virulent sur les estrades, toujours accommodant dans les couloirs. Quelques postes de ministres, et hop!, finis les désaccords idéologiques. Seulement, l'oxygène, ce n'est pas comme les impôts, un jour ça s'arrête.
».

L’analyse et nous le voyons « très fine ». Les arguments simplistes et même faux.
Dire que les députés ou Maires communistes sont élus avec les voix des électeurs socialistes en oubliant d’indiquer que l’inverse est également vrai est malhonnête. Les député communistes élus l’ont été parce au premier tour ils ont tous devancés les candidats socialistes.
Disons le nettement ce chroniqueur est un bonimenteur.
Il profite de sa situation de monopole pour dire n’importe quoi et pour déverser sa haine.
Ce qu’il dit sur l’avenir des communistes est méprisant. Il ajoute un couplet sur l’immeuble du Colonel Fabien conçu par Niemeyer qui est « moche », contredisant d’ailleurs l’avis de la plupart des spécialistes et des habitants, sans doute pour montrer un peu plus son inculture.

Ce qui frappe le plus malgré tout dans ses chroniques est l’oubli de ce qui fait le centre de l’activité des communistes et la raison même du PCF : « l’homme et la souffrance vécue».
L’histoire témoigne en notre faveur. A propos du téléfilm diffusé actuellement sur France 2, « les camarades », Olivier Sitruk, l’un des héros de cette saga a déclaré dans Télé Loisirs à propos de ce portrait d’une génération qui croyait aux lendemains qui chantent que cela vient à point pour rappeler à la jeunesse le sens de l’engagement: « Pour un môme de 20 ans, le smic, les radios libres, le vote des femmes, les crèches…tout cela va de soi. On a tellement tiré sur le communisme qu’on a oublié les idéaux et les espoirs qu’il a portés », et j’ajoute qu’il porte…


JOHNNY S'EN VA !
"S'il y en a que cela gêne d'être en France, qu'ils ne se gênent pas pour quitter un pays qu'ils n'aiment pas." Sarkozy

L'annonce du départ de Johnny Hallyday en Suisse pour raisons fiscales a fait des vagues dans toute la classe politique, Premier ministre compris, l'opposition ironisant sur le soutien affiché du chanteur à Nicolas Sarkozy.
Johnny Hallyday a confirmé son intention d'aller s'établir une partie de l'année à Gstaad, expliquant sur Europe 1 qu'il en a "marre, comme beaucoup de Français, de payer ce qu'on nous impose comme impôts".
"Mais j'aime la France et (...) même si je suis résident ailleurs, je suis quand même citoyen français", a-t-il souligné, confirmant une information publiée sur le site internet du magazine L'Express.
A quelques mois de la présidentielle de 2007, l'opposition ne s'est pas privée d'ironiser sur le départ annoncé du chanteur, qui s'était affiché au côté de Nicolas Sarkozy début septembre à l'université d'été de l'UMP.
"Nicolas Sarkozy devrait se méfier de ses propres amis", a estimé le premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande. "Quand on a une conception de la République, de son pays, on reste payer ses impôts dans son pays".
Dans la même veine, François Bayrou, candidat UDF pour 2007, a affirmé que M. Sarkozy "n'a pas de chance avec ses soutiens".
"Ce n'est pas un très bon exemple civique", a-t-il ajouté, tout en se prononçant "pour une réforme profonde" de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), qui "fera rentrer plus dans les caisses de l'Etat et empêchera que tous ces gens s'en aillent".

Le Premier ministre Dominique de Villepin a de son côté "regretté profondément" la décision du chanteur. "J'ai beaucoup d'admiration pour Johnny Hallyday mais je le regrette personnellement", a-t-il insisté, en jugeant que "ce n'est pas justifié par la situation fiscale de notre pays".
"Quelque part, cela me fait de la peine", a confié le ministre de l'Emploi Jean-Louis Borloo, tandis que son collègue Gérard Larcher (Travail), s'est déclaré "quelque part un peu choqué".
Le porte-parole du gouvernement et ministre du Budget, Jean-François Copé, s'est permis un avertissement en forme d'énigme: "l'herbe du voisin est toujours plus verte que la sienne, jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que c'est du gazon artificiel".
De rares voix ont pris la défense du chanteur. Le très sarkozyste ministre délégué à l'Aménagement du territoire, Christian Estrosi, a jugé "choquant que la situation de la fiscalité en France soit telle qu'elle génère l'évasion de capitaux".
"On ferait mieux de s'interroger sur les raisons de ce déménagement", a approuvé le député UMP Lionnel Luca, en appelant à supprimer l'ISF.
L'UMP a renoncé dans son programme législatif à toute réforme radicale de l'ISF, mais propose d'en exonérer la résidence principale. Johnny Hallyday, qui a tenté sans succès jusqu'à présent d'obtenir la nationalité belge, pays d'origine de son père, possède un chalet à Gstaad.
Ses représentants négocient actuellement son imposition fiscale avec le canton de Berne, dont dépend le village suisse, ont indiqué les autorités locales.

Depuis 2 ans, les Français sont de plus en plus favorables à une politique de réduction des inégalités de revenus : 83% des Français (= par rapport à 2005, + 6 points par rapport à 2004) sont d'accords pour que le gouvernement mette en place une politique destinée à réduire les inégalités de revenus. Témoin de la montée de la perception des inégalités sociales, cette aspiration à une politique redistributive est plus forte auprès des personnes ayant de faibles revenus (87% des personnes ayant des revenus de moins de 1150 € par mois contre 83% en moyenne).
Enquête : BVA-DRESS


2 % de l'humanité possèdent 50 % des richesses, selon une étude de l'ONU, 1 % les plus riches possèdent 40 % des richesses, soit plus de 416 000 euros par personne.


Entre 1,3 et 2,3 M d'€ d'économies

Le système fiscal helvétique n'a pas son pareil pour attirer les porte-monnaie surchargés. Les étrangers y bénéficient en effet d'un forfait fiscal spécifique à chaque comté, à condition d'y résider plus de six mois dans l'année et de n'y avoir aucune activité lucrative.
Concrètement, le système suisse devrait permettre à Johnny de faire de substantielles économies.
Avec 6,6 M d'€ de revenus en 2005, le chanteur paie entre 1,98 M et 2,64 M d'€ par an au fisc français au titre des impôts sur le revenu.
Avec le forfait helvétique, cette somme devrait osciller entre 330 000 et 66000 €. Soit une économie se situant entre 1,32M et 2,3M d'€, sans compter le pesant ISF, inexistant en Suisse.
Ces grandes fortunes qui fuient l'Hexagone…
Chaque année, De nombreuses personnalités étrangères qui ont choisi d'élire domicile en Suisse pour son air pur et... sa fiscalité avantageuse. Parmi eux, de nombreux français.
C'est le cas d'Antoine Zacharias, l'ancien PDG de Vinci, qui vient de s'installer à Genève, provoquant par-là même un miniséisme dans le classement des plus riches Français de Suisse.
Il arrive directement à la 17e place, devant d'autres capitaines d'industrie retraités : le coiffeur Jean-Louis David (72 ans) qui a vendu sa chaîne de 1 200 magasins franchisés au groupe américain Regis, il y a quatre ans, et l'ancien créateur de mode Daniel Hechter (68 ans) qui a vendu son affaire en 1997 et soutient aujourd'hui l'association Ni Putes, Ni Soumises.

On trouve aussi quelques-uns des plus beaux noms de l'industrie tricolore. À commencer par la famille Peugeot.
On ne sait pas exactement quels membres de la famille vivent effectivement dans la Confédération. Mais il est vrai que tout comme les Heineken, les Peugeot, qui ont été autrefois victimes d'un kidnapping avec demande de rançon, sont d'abord venus chercher en Suisse anonymat et sécurité. Toujours présents également, Michel Reybier, l'ancien PDG de Justin Bridou, qui accroît encore sa fortune en misant sur les cartes mémoires et le pétrole avec son ami Roger Zanier.
Sans oublier le fondateur du groupe audiovisuel Claude Berda, le magnat de l'eau et de la bière Pierre Castel et deux noms illustres de la Champagne, les Taittinger et les Nonancourt
Chaque année, entre 300 et 400 personnes quitteraient la France pour des raisons fiscales. On estime à 100 milliards d'euros les capitaux qui ont quitté l'Hexagone ces dernières années. Si certains s'envolent vers des paradis fiscaux exotiques, la plupart de ces exilés trouvent leur bonheur de l'autre côté de nos frontières.
Au premier rang des pays d'accueil des fortunes tricolores, la Suisse accueille des Français de tous horizons : des sportifs (Prost, Mauresmo ou Killy), des vedettes (Aznavour, Delon ou Adjani) ou de grands patrons d'entreprises (Corinne Bouygues, Robert Louis-Dreyffus ou encore les familles Peugeot et Bich). Le Bénélux accueille également plusieurs de nos compatriotes fortunés. Daniel Auteuil, Pierre-François Grimaldi ou encore la famille Mulliez (groupe Auchan) ont élu domicile en Belgique, malgré un impôt sur le revenu relativement élevé (mais pas d'ISF).
Les îles britanniques sont également prisées. L'Irlande est notamment le repère des écrivains à succès comme Michel Houellebecq ou Eric-Emmanuel Schmitt. La Grande-Bretagne, terre d'asile de nombreux footballeurs professionnels, a également attiré la belle Lætitia Casta.
A.B.



ACCOR
NOUS FABRIQUONS DU SOURIRE : SUR !
sans commentaire

Le Groupe Accor a écrit une nouvelle page de son histoire avec l'approbation par l'assemblée générale mixte d'un changement annoncé de direction et de statuts, Gilles Pélisson devenant directeur général à la place de Jean-Marc Espalioux.

A l'ouverture de l'assemblée au Novotel Tour Eiffel, le co-fondateur Gérard Pélisson, oncle de Gilles Pélisson, a rendu hommage à la "solidité du bilan" de M. Espalioux, contraint au départ, mais a qualifié son successeur, ex-PDG de Bouygues et ancien d'Accor et d'Euro Disney, d'"atout maître".
Il a remercié lui-aussi M. Espalioux, qui quitte le groupe avec 12 millions d'euros (1), pour le "travail remarquable qu'il a effectué".

Il a estimé que le conseil d'administration, qui passe à 17 membres, dont cinq nouveaux (contre 15 pour l'ex-conseil de surveillance), sera plus "international" avec cinq administrateurs étrangers, pour trois auparavant. Les cinq entrants sont Gilles Pélisson, Philippe Camus, co-gérant du Groupe Lagardère, Aldo Cardoso, administrateur de sociétés, sir Roderic Lyne, ex-ambassadeur britannique, Theo Waigel, ex-ministre des Finances d'Allemagne.

L'assemblée s'est prononcée, parmi 32 résolutions, sur l'augmentation du montant global annuel des jetons de présence, qui passe de 305.000 euros à 590.000 euros (2) (35.000 euros par administrateur). "C'est en dessous de la moyenne du CAC 40", selon M. Weinberg, qui a annoncé une "augmentation du nombre de réunions": six par an.

PARIS (AFP) - 09/01/2006 17h28

(1)-Plus de 10 000 fois le SMIC
(2)- + 90 %


LA PRECARITE GENERALISEE

A la grande satisfaction de la nouvelle présidente du MEDEF, Laurence Parisot, et malgré l'opposition des organisations syndicales et des parlementaires communistes et socialistes appuyée par l'opinion publique ( + de 80 % selon le sondage Mosaïque), le gouvernement vient de prendre une série de décisions généralisant la précarité, les "petits boulots", les bas salaires pour plusieurs millions de salariés.
En même temps c'est aussi l'ensemble du code du travail qui passe ainsi au karcher.


LE CONTRAT NOUVELLE EMBAUCHE (CNE)
C'est le fleuron, la grande trouvaille du gouvernement UMP, Villepin, Sarkozy. Ce contrat réservé pour l'instant aux entreprises de - de 20 salariés (plus de 50 %) est un contrat à durée indéterminé (CDI) de deux ans, renouvlable à vie (espacé de 2 mois), que l'employeur peut rompre à tout moment sans préavis et sans avoir à motiver sa décision (inutile de penser une seule sconde à se syndiquer ou à faire grève, votre sort sera réglé immédiatement).
Seule consolation, en cas de licenciement une prime de l'ordre de 10 % du salaire doit être versée (identique aux contrats en CDD).

Le salarié lui n'a aucun moyen de savoir s'il conserve son emploi d'un mois sur l'autre. Le CDD (contrat à durée déterminé) étant au moins garanti jusqu'au bout. Par la suite les allocations chômages seront inexistantes si l'employé a travaillé moins de 4 mois, et très limité au delà.
Le gouvernement veut en même renforcer le contrôle de l'ANPE et des chômeurs sommés d'accepter ainsi n'importe quoi...
Nous sommes ainsi revenu au temps des seigneurs et des serfs corvéables à merci, et considérés comme des chiens ( peut être moins bien...).

LES SERVICES A LA PERSONNE
Le gouvernement prétend créer 500 000 emplois en trois ans en prenant en compte ainsi le vieillissement démographique, l'augmentation des personnes dépendantes, des handicapés, la progression des familles monoparentales ( + 25 % en 10 ans).
Ces emplois proposés avec une absence de concertation des partenaires sociaux s'inscrivent dans un cadre de précarité et bas salaires généralisés et l'absence de tous contrôles réels.
Plus grave, les 3/4 se feront de "gré à gré" entre employeurs et employés. Comment imaginer que des personnes souffrants "de déficiences mémorielles", "d'atteintes de maladie d'Alzheimer" pouront gérer une aide à domicile sans le secours de prestataires.
A la précarité des salariés s'ajoutera des opérations douteuses.

Pour Pierre Conciaddi, chercheur à l'IRES, ces nouvelles mesures vont plonger les plus précaires dans un "cercle vicieux" de la pauvreté. Elles vont tendre à accentuer la précarité plus qu'à la résorber.
Pour lui au contraire il faudrait valoriser substantiellement le SMIC qui se trouve aujourd'hui au seuil de la pauvreté, revenir sur un politique d'exonérations sociales qui n'a rien réglée, sur les bas salaires afin de trouver l'argent pour les formations et ne plus inciter les entreprises à employer que des travailleurs non qualifiés.
Ces propositions sont partagées par les parlementaires communistes qui ajoutent que pour les "services à la personne" l'organisation doit s'effectuer dans un cadre collectif, avec des financements publics identifiés, propres à garantir la qualité de la sécurité du service rendu, la professionnalisation des salariés et leurs rémunérations dans des conditions satisfaisantes.


Attention, virus !!

Ce virus est prévu pour se déclencher le lundi de Pentecôte 2005.
Il doit provoquer la suppression d'un jour férié. Il transformera ensuite des heures chômées en heures travaillées...
Enfin, par un processus que ni McAfee, ni Norton Antivirus, ni Microsoft, ni JP Raffarin, ni PPDA, ni Jean Luc Delarue et ni même vous, etc. ne parviennent à expliquer à ce jour, il doit transformer des cotisations sociales en aide pour les personnes âgées.

Il aurait été mis au point par une équipe d'escrocs qui se sont fait élire en promettant aux "français d'en bas" davantage de sécurité, alors qu'ils sont pointés du doigt pour 15.000 morts en 15 jours pendant le mois d'août 2003.


Il est encore temps d'agir pour éradiquer ce virus, apparenté à un Cheval de Troie.
Voici la marche à suivre :
1 - Faites suivre ce mail à tout votre carnet d'adresse.
2 - Décrétez que vous ne viendrez en aucun cas travailler ce jour là.
3 - Jurez au contraire que vous en profiterez pour rendre visite à une grand-tante esseulée.
4 - Réclamez haut et fort la création d'un jour férié en plus, qui sera consacré à organiser des festivités pour égayer le quotidien des personnes âgées.
5 - Faites remarquer au Medef, donc à Raffarin, que l'économie du pays récupérera en richesses produites tout ce qui sera dépensé au cours de ce jour de fête.
6 - Faites remarquer au Medef, donc à Raffarin que l'impôt sur les grandes fortunes a été diminué pendant que 15 000 personnes âgées n'avaient pas de quoi être accueillies dans les hôpitaux et services sociaux.
7 - Faites remarquer au Medef, donc à Raffarin que l'impôt sur les sociétés a été abaissé à 30 % pendant le même mois. Il était de 50% il n'y a pas si longtemps.
8 - Faites remarquer au Medef, donc à Raffarin que 103 millions d'euros de crédits pour l'amélioration des structures d'accueil des personnes âgées ont été annulés en janvier 2003.
9 - Faites remarquer au Medef, donc à Raffarin et à Chichi, Sarko et Dousty que des millions d'heures d'aide ménagère ont été supprimées faute de crédits...
10 - Faites remarquer au Medef, donc à Raffarin, et aussi (pour l'occasion) à Lionel Jospin que des centaines de lits d'hôpitaux ont été supprimés, et des dizaines d'établissements hospitaliers supprimés, etc.
11 - Rappelez enfin que s'il faut travailler plus, des millions de chômeurs seraient ravis de le faire aussi ...



Donner aux riches en prenant aux pauvres, d’accord ils ont moins d’argent, mais ils sont les plus nombreux.
Sarko, avant de quitter le ministère des finances l’a bien compris.
Ainsi le Fonds de solidarité des communes de la région Ile de France (FSRIF), dont la vocation était de redistribuer les fonds aux communes les plus pauvres en prenant sur les communes les plus riches a été modifié.
En 2004 l’enveloppe de 152,8 millions d’€uros vient de diminuer de 6.57 %, et en prime les communes riches diminuent leurs contributions au détriment des 122 communes bénéficiaires.
Neuilly (la ville à Sarko, comme par hasard), va donner 2.8 millions d’€uros contre 7.3 en 2003. Rueil, S Cloud, Boulogne villes aussi UMP vont en distribuer 6.7 contre 11.5. Levallois, la ville de Balkany va passer de 8.8 millions d’€uros à 5.5 millions.
La protestation s’amplifie en région Parisienne contre cette injustice flagrante, c’est David contre Goliath.
L’histoire est un éternel recommencement…

La mémoire républicaine insultée

La présence d’un vétéran de la division Bleue franquiste au défilé militaire de la fête nationale suscite une vive polémique dans le pays.
« Au-dessus de toute signification idéologique ou même historique, nous croyons que c’est le meilleur cortège que nous puissions trouver pour représenter l’Espagne. » Telle est en substance la réponse adressée par le ministre espagnol de la Défense, José Bono, aux formations politiques et associations indignées de la présence d’un vétéran de la division Bleue (Azul) au défilé militaire de la fête nationale.

Selon le ministre de la Défense, il s’agissait de rendre hommage à « la paix et à la concorde ». D’où la mise en scène contestée du dépôt de gerbe du roi Juan Carlos en présence d’un vétéran de l’armée républicaine et de la division Leclerc (à qui on rendait également hommage) et d’un vétéran de la division Bleue franquiste. Cette division, composée de troupes de volontaires et encadrée par la Phalange, parti fasciste espagnol créé par le dictateur Primo de Rivera, fut l’un des piliers de la Wehrmacht, en lui prêtant main-forte en URSS en 1941.
Izquierda unida (IU - communiste) et les formations catalanes de l’ERC et de CiU ont qualifié l’invitation d’« intolérable ». « On place sur un pied d’égalité les victimes et les bourreaux », s’est insurgé le leader d’IU, Gaspar Llamazares, qui, en signe de protestation, a boycotté le défilé militaire.

Douze associations de familles et d’amis de victimes du franquisme se sont jointes à l’indignation. Parmi elles figurent différentes organisations engagées dans la recherche des crimes commis durant la guerre civile et la dictature de Franco. Pris à parti, José Bono a usé de l’argument selon lequel « s’il fallait jeter d’Espagne tous ceux qui ont participé à la division Bleue, crié "vive Franco" (...), il ne resterait que quatre personnes ».
Une déclaration scandaleuse pour les victimes du franquisme dont la réhabilitation reste encore incomplète et pour les Espagnols qui ont combattu la dictature. Elle est d’autant plus méprisante qu’elle tend à nier le nécessaire travail de mémoire.

Le consensus politique de l’après-franquisme pour mettre en place la démocratie s’est réalisé sur la base d’une amnistie, équivalent à une amnésie de cette période. La « réconcialition » de l’Espagne, si chère à José Bono, ne peut donc souffrir d’aucune espèce d’amalgame visant à confondre les combattants restés fidèles à la République, et ceux-là même qui l’ont assassinée, avec le concours zélé des forces de l’Axe.
Meriem Djebari

Découvrir l'histoire de la guerre d'Espagne en cliquant ici

SARKO PREFERE LES ESCROCS
Grandes fortunes ou smicards, Sarkozy choisit
Jean-Pierre Raffarin avait ouvert la voie, en proposant d’accorder l’" amnistie fiscale " aux détenteurs de capitaux illégalement placés à l’étranger.
Nicolas Sarkozy s’y engouffre et tente de l’élargir en se prononçant pour une remise en question de l’impôt sur la fortune.
" L’ISF, a-t-il déclaré au Figaro, est un frein au retour des capitaux. " À quoi servirait-il, argumente-t-il en substance, de faire rentrer, en leur promettant une taxe légère, ces masses financières envolées dans des paradis fiscaux si l’ISF doit leur être appliqué.
Comme l’explique Philippe Marini, sénateur UMP, auteur d’un rapport sur une réforme de cet impôt, " l’ISF va minorer le rendement de cette mesure " (d’amnistie - NDLR).

Autant donc y aller carrément, et dégager le terrain de tout ce qui pourrait faire de l’ombre à ces privilégiés de la fortune, à commencer par cet impôt qui ne fait pourtant que les égratigner (les quelque 280 000 imposables ont acquitté une cotisation moyenne de 7 792 euros en 2003, en baisse de 15 % depuis 1999).

Rappelons que l’auteur de cette énième tentative d’en finir avec l’ISF - jusqu’ici, Chirac, par crainte d’un coût politique trop élevé, s’y est opposé - est aussi celui qui a le plus fortement plaidé pour un report de l’augmentation promise en 2005 aux smicards. Haro, donc, sur ceux qui gagnent le moins et, souvent, travaillent le plus dur ! Et tapis rouge pour les as de la spéculation et de la fraude du fisc !
Le ministre et ex-maire de Neuilly n’oublie pas les intérêts de ses anciens administrés. Quant à la devise de la République.

HARO SUR LES SYNDICATS !
Ces chiens, ces peleux d'où nous vient la rage...les organisations syndicales, les syndicalistes sont dans le collimateur de la bourgeoisie.
En quelques jours la droite a multiplié de nombreuses attaques contre les syndicats, le droit de grève, et le service minimum.
Un livre intitulé : "la Dictature des Syndicats" explicite tout simplement que le pouvoir est administré par les Syndicats (sans rire !) et appelle les citoyens à agir contre ces méchants.
Patrick Baudry, spationaute en son temps, et aujourd'hui responsable de l'UMP indique dans un entretien récent à France Soir "Les Syndicats sont l'émanation du mal de notre Etat. Les Syndicats français sont des systèmes obsolètes, mafieux, au financement opaque et aux actions destructrices, qui vont à l'encontre des intérêts de ceux qu'ils sont censés représenter".
N'en jetez plus, la messe est dite, le retour vers la préhistoire dans les entreprises c'est pour bientôt.

CARTON ROUGE A LAMOUR
M. Lamour nouveau ministre des sports vient de dévoiler ces nouvelles priorités. Dans un document publié par l'Humanité le budget des sports est décortiqué.
-Sport de masse M. Lamour n'aime pas. Les coupons sport mis en place par MG Buffet sont réduits. Ils permettaient à tous d'accéder au sport grâce à une aide financière. A Evry par exemple ce sont plusieurs centaines de jeunes qui ont ainsi pu pratiquer un sport jusqu'alors interdit. Maintenant c'est Sarkozy qui va s'en occuper.
-Emplois jeune supprimés. Les emplois d'encadrement sportifs étaient de l'avis de tous très utiles. Maintenant les jeunes seront encadrés par des CRS dans les stades et les établissements scolaires.
-Lutte contre le dopage : budget restreint. La dope c'est non devant les caméras, ailleurs il ne faut pas se laisser prendre c'est tout, et si cela peut aider à gagner tant mieux...
-Sport d'élite devient la priorité des priorités. Le tape à l'oeil et le fric sont définis comme nouvelle politique sportive. Un budget en expansion pour que le peuple d'en bas rêve du haut à genoux.
Attention M. LAMOUR au jour où nous nous lèverons tous.

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