Suite à la levée du PEB (Plan d’Exposition au Bruit) en février 2008, les terrains situés à l’Ouest de Bondoufle s’ouvrent à l’urbanisation. Le projet des Portes de Bondoufle prévoit la réalisation de nouveaux logements, la création d’espaces verts et vise le développement économique de la commune.
État initial : Depuis 1982 on assiste à une baisse du nombre de ménages de 3 et plus sur la commune de Bondoufle. Cela est dû au phénomène de décohabitation, c’est-à-dire la séparation des domiciles des différentes générations d’une même famille.
Le parc de logement de la Commune est surtout constitué de résidences principales : 94,53% des résidences construites sont des maisons individuelles. Entre 1999-2005, sur 3 235 logements, 10,8% sont des logements sociaux. Il y a donc une faiblesse du parc de logement collectif et social.
Avant 2008, Bondoufle avait quasiment atteint son plein développement et ne pouvait plus s’étendre. Notamment à cause de l’aérodrome de Brétigny qui soumettait les communes avoisinantes à un plan d’exposition au bruit (PEB), aujourd’hui levé, et qui réduisait donc les zones constructibles à l’Ouest de Bondoufle.
Un nouveau quartier : Le projet des Portes de Bondoufle prévoit la construction de 1200 logements répartis sur 10 îlots. Ce sera donc un nouveau quartier dont 35% de ces logements seront sociaux, afin que la Commune atteigne le taux de 20% de logements sociaux imposés par la loi SRU (article 55 de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain). Le quartier sera constitué de petits collectifs, d’individuel groupé et permettra d’accueillir environ 1500 nouveaux habitants. Il est nécessaire de favoriser la densification pour maintenir le nombre d’habitants sur Bondoufle.
Avec de nouveaux habitants la démographie de la Commune augmentera et permettra d’éviter la fermeture des classes due à une baisse des effectifs.
De plus, avec le phénomène de décohabitation (diminution du nombre de personnes par ménage), il faut répondre à une demande croissante en matière de petits logements. Notamment de la part des jeunes couples qui veulent s’installer sur la commune
Marche forcée pour une Silicon Valley à Saclay
Grand paris . Le secrétaire d'État en charge de la Région capitale, Christian Blanc, a présenté un projet clé en main de " cluster " scientifique et technologique dans l'Essonne.
Christian Blanc est un homme pressé. Au point de donner le sentiment de vouloir faire passer en force son projet de créer sur le plateau de Saclay " une plate-forme scientifique, technologique et d'innovation économique ". S'inscrivant dans le cadre de l'ordre de mission donné par Nicolas Sarkozy au moment de sa nomination, il y a huit mois, ce projet, qui devrait être suivi d'autres, en particulier concernant la Plaine de France au nord-est de la capitale, vise à concentrer et favoriser les synergies " des scientifiques, des chercheurs, de l'industrie et des investisseurs qui, agissant sur des thématiques fortes et fédératrices ", permettraient " de créer plus de richesses ". Et de prévoir sur un territoire qui s'étend de Saint-Quentin-en-Yvelines à Massy dans l'Essonne, et qui compte déjà de nombreuses grandes écoles comme Polytechnique ou HEC, des centres de recherche comme le CNRS, le CEA, la venue de nouvelles grandes écoles comme celle des Mines de Paris ou l'École normale supérieure de Cachan (94). De plus, concernant la faculté Paris-XI d'Orsay, le déménagement de celle-ci sur le plateau de Saclay.
Objectif du ministère : regrouper 100 000 étudiants, élèves ingénieurs, chercheurs et permettre la venue et la création d'entreprises innovantes avec, à la clé, 40 000 emplois nouveaux d'ici à 2020.
Ce projet porte aussi une dimension urbaine puisqu'il s'agit, sur ce territoire qui regroupe une quarantaine de communes, de " créer de la ville ", avec la venue de 35 000 nouveaux habitants. Avec toutes les questions d'infrastructures que cela pose, notamment les problèmes de transport pour lesquels Christian Blanc a sorti de son chapeau ( !) une nouvelle liaison ferroviaire Versailles-Palaiseau. Même si le ministre annonce que ce projet sera conduit dans le cadre " d'un nouveau type d'établissement public " réunissant l'État, les collectivités territoriales, la communauté scientifique et économique ", les interrogations sur la méthode et sur le fond sont nombreuses. Sur la méthode tout d'abord puisque, à peine rendu public, ce " cluster " fera l'objet en février 2009 d'un projet de loi. C'est dire si le temps de concertation est réduit au minimum. Ce qui fait dire à Jean-Paul Huchon, président socialiste de la région Île-de-France : " Il est hallucinant que la région n'ait pas été consultée le moins du monde sur le sujet. " " D'autant, ajoute Jean-Paul Huchon, qu'ayant voté elle-même, il y a quelques semaines, son schéma directeur de la région (SDRIF), nous avons nos propres propositions sur ce sujet. " Même souci sur le terrain où la communauté d'agglomération du plateau de Saclay, qui regroupe une dizaine de communes, demande d'être véritablement impliquée dans le projet.
Alors pourquoi un tel manque de concertation préalable, et pourquoi une telle précipitation ? Pour les responsables communistes de ce territoire, ce projet ne vise-t-il pas " à constituer un banc d'essai de sa politique en matière de recherche et d'enseignement dans un rapport direct et de dépendance vis-à-vis de l'industrie " ? Dans ce cadre, le déménagement de la faculté d'Orsay sur le plateau de Saclay peut, non seulement laisser place à de la spéculation immobilière sur les terrains libérés, mais se traduire par un transfert des seuls secteurs d'étude et de recherche rapidement exploitables par les entreprises. Quid de la recherche fondamentale ? De même, dans un autre domaine, quelles perspectives d'emplois quand des entreprises sur le secteur comme Danone ou Thales licencient dans leurs centres de recherche ?
Enfin, même si cette question ne semble pas la plus compliquée à résoudre, le ministre ayant ouvert des portes, ce projet d'aménagement urbain se heurte au problème de la préservation des terres agricoles. Celui prévoyant de conserver 1 800 hectares au lieu des 2 300 demandés par les partenaires. Sur tous ces enjeux, l'exigence monte chez tous les partenaires, élus, populations, enseignants et chercheurs, d'être écoutés et entendus. D'autant que le financement de ce projet de Silicon Valley, évalué entre 2,5 et 3 milliards d'euros, n'est pour l'heure pas assuré et que les collectivités territoriales devraient être largement sollicitées.
Max Staat
RER D : DU NOUVEAU
A la demande du Conseil général de l'Essonne, la SNCF s'est engagée à améliorer le service du RER en Ile-de-France et en particulier celui du RER D, victime de graves dysfonctionnements. Un programme complet de modernisation de la ligne devrait être mis en place "avant l'été". A la clé : plus de régularité, d'information et de sûreté pour les voyageurs.
Retards, vétusté, insécurité... La ligne D du RER, qui relie l'Oise à la Seine-et-Marne en passant largement par l'Essonne, cumule les dysfonctionnements pour ses usagers. Début 2008, la "D" a battu tous les records d'irrégularité : 18,19 % des trains en retard ou annulés. Soit trois points de plus qu'en 2007.
Face à l'aggravation de la situation, le président du Conseil général de l'Essonne, Michel Berson, a demandé à la direction régionale de la SNCF la mise en oeuvre de nouvelles mesures d'urgence : - l'ouverture de la deuxième voie de retournement, nécessaire à la résorption du point noir de Villeneuve-St-Georges dès avril 2008, et le réaménagement des aiguillages de la gare avant la fin de l'année. - l'accélération du plan de renouvellement du matériel roulant. Le rythme de rénovation des rames à deux étages prévoyait la réhabilitation en moyenne de 17 rames par an. En 2008, ce sont une trentaine de rames qui doivent être rénovées. - la mise en service effective de la voie Z de la gare de Châtelet dès le 1er janvier 2009, ce qui permettra de faire passer le trafic dans le tunnel -l'un des plus chargés au monde- de 32 à 28 trains par heure et par sens, et donc de limiter les encombrements responsables de la désorganisation de la ligne D. - l'amélioration de l'information aux voyageurs, notamment au travers des annonces "micro" assurées par les conducteurs.
Le 1er février dernier, le directeur de la Région Paris Sud-Est à la SNCF, Frédéric Delorme, a confirmé que ces quatre mesures étaient en cours de réalisation.
Contrat de projets État-Région
Par ailleurs, concernant l'enveloppe de 200 millions d'euros inscrite au Contrat de projets État-Région 2007-2013 pour la modernisation de la ligne D du RER, Michel Berson a demandé que trois décisions soient effectivement prises, sans tarder, par la SNCF, RFF (Réseau ferré de France), et surtout le Stif (Syndicat des transports de l'Île-de-France, autorité qui organise les transports franciliens), à savoir :
- la réservation de 40 millions d'euros pour la suppression du point noir du noeud de Corbeil, qui nécessite le décroisement des voies au niveau de la gare entre les lignes du Plateau et de la Vallée.
- la suppression définitive des 40 rames de "petits gris" (vielles rames) encore en service sur la ligne D du RER par des "20-500" rénovés, et rénovation de la totalité des 102 rames "20-500" qui circulent sur la ligne (actuellement seules 83 rames sont concernées dans le plan de rénovation en cours).
- le remplacement de tous les panneaux de téléaffichage obsolètes par des écrans vidéo.
Programme choc de remise à niveau de la ligne D
Cette fois, la réponse est venue des plus hautes instances de la SNCF, en la personne de son nouveau président, Guillaume Pépy. A l'occasion de la présentation des résultats du groupe et de son plan stratégique 2008-2012 le 19 mars, le nouveau patron de la SNCF s'est engagé à améliorer le service du RER en Ile-de-France et en particulier celui du RER D. "Nous allons financer un plan de transformation en profondeur du RER SNCF pour moderniser les trains et aider à remettre à niveau le réseau", a-t-il déclaré.
La SNCF prévoit en particulier un "programme choc de remise à niveau de la ligne D du RER (...) pour obtenir de premiers résultats tangibles sur la régularité, l'information et la sûreté en 24 mois", sans préciser le montant des investissements envisagés. La SNCF s'est aussi engagée à bâtir avant l'été 2008 un programme complet de modernisation de la ligne D, avec Réseau ferré de France, la Région Ile-de-France, et le Stif.
100 millions d'euros sur la table
Un mois plus tard, ces promesses ont été en partie chiffrées. D'après Jean-Paul Huchon, président de la Région Ile-de-France et du conseil d'administration du Stif, "la SNCF est prête à mettre immédiatement 100 millions d'euros sur la table pour moderniser les RER, en commençant par le RER D". La SNCF et le Stif prévoient en effet de signer un contrat de modernisation des matériels roulants, des infrastructures et des gares, entre juillet et l'automne 2008.
Ces 100 millions viendront en complément des financements du Stif et de la Région pour les matériels roulants. "A l'issue de 2012-2013, nous aurons rénové et remplacé plus de 40% du matériel SNCF de notre territoire et supprimé les 'petits gris'", a précisé Jean-Paul Huchon lors d'une séance de questions orales au conseil régional, le 17 avril.
Autant de nouvelles positives pour les usagers du RER D. Le Conseil général de l'Essonne, fortement impliqué sur ce dossier, a toutefois fait savoir qu'il sera particulièrement vigilant quant à la mise en oeuvre effective de ces mesures d'urgence.
Ile-de-France : accord sur des financements de transports en banlieue
Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a annoncé le 13 février, dans une interview au Figaro, avoir donné son "accord au président de la région Ile-de-France pour le financement du tramway" entre Montfermeil et Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et pour une liaison de transport public entre Massy et Evry (Essonne). Il a précisé qu'entre Montfermeil et Clichy-sous-Bois, ce financement s'élèvera à 150 millions d'euros (moitié Etat, moitié région) et à 400 millions d'euros entre Massy et Evry. "Par ailleurs, 20 millions d'euros (partagés entre l'Etat et la région) vont être immédiatement débloqués pour améliorer cinquante lignes de bus de la périphérie parisienne", a ajouté le ministre.
Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France et du Stif (Syndicat des transports d'Ile-de-France), a vu dans ces propos "une avancée positive". "J'ai signé un contrat de projet avec l'Etat qui était moyennement satisfaisant, parce que j'avais mis beaucoup plus que l'Etat et que l'Etat ne mettait pas ce qu'il avait promis.
Tout ce qui permet de se rapprocher de la parole de l'Etat tenue, pour nous c'est un plus", a-t-il déclaré, précisant qu'il avait eu un entretien le 12 février avec le ministre de l'Ecologie à propos du "plan Banlieue" annoncé par Nicolas Sarkozy et des "désenclavements possibles". Concernant la ligne de banlieue à banlieue Massy-Evry, il s'est félicité de "l'appui de l'Etat à un projet qui n'était porté que par les collectivités locales (région et département)".
Liaison Massy-Evry: le choix du tram-train confirmé
Le choix du tram-train pour la liaison de transports en commun entre Massy et Evry dans l'Essonne a été confirmée jeudi par le Syndicat des transports d'Ile-de-France (STIF), a annoncé le conseil général du département.
Le conseil d'administration du STIF a approuvé le dossier d'objectifs et de caractéristiques principales du projet de tram-train, précise le conseil général dans un communiqué.
Selon son président Michel Berson , "cette desserte est essentielle au développement et à l'attractivité des deux pôles majeurs que sont Massy le plateau de Saclay et Evry centre Essonne".
Financé par l'Etat, la région et le département, ce projet représentera un investissement de 350 à 400 millions d'euros. Cette liaison permettra de desservir le département de l'Essonne en reliant les pôles de Massy, d'Epinay sur Orge et d'Evry. Elle permettra également aux essonniens habitant dans le Val d'Orge de se rendre sur les pôles d'emplois majeurs d'Evry et de Massy C'est une véritable rocade de banlieue à banlieue connectée aux RER B, C et D ainsi qu'aux nombreux réseaux de bus locaux. Le coût total est estimé à plus de 307 M€ (auxquels il faut ajouter 84 M€ pour l'achat du matériel) Ce projet est inscrit au Contrat de projet 2007 – 2013 pour un montant de 40 M€ : 10 millions – 3 pour l'Etat et 7 pour la Région- pour les études 30 millions - 21 pour la région et 9 pour l'Etat- pour les travaux après 2010 La Région et le Département de l'Essonne envisagent d'abonder de 60 M€ l'enveloppe actuelle de 40 M€. L'exploitation s'effectuera en mode train entre Massy et Epinay-sur-Orge (sur les emprises du RER C) et en mode Tram entre Epinay sur Orge et Evry Courcouronnes. La capacité sera de 3000 places par heure et par sens (assis et debout).
Les études doivent durer jusqu'à 2010, et le premier coup de pioche est prévu pour 2012, avec une mise en service prévisionnelle pour 2017.
qu'est-ce que le Tram-Train ? C'est un véhicule proche du tramway, il est innovant car il est conçu pour circuler à la fois sur les rails du réseau de transport urbain et sur les voies ferrées habituellement empruntées par les trains régionaux. Il possède des capacités d'accélération et de freinage supérieures à celles d'un train classique. Grâce à elles, il peut desservir plus de stations qu'un train classique dans le même temps.
Ces qualités lui permettent de proposer aux futurs utilisateurs : l'accès direct au centre-ville, en évitant les changements de véhicules en gare SNCF
une meilleure desserte entre les communes, à proximité des habitations ou des activités, tout en conservant des temps de parcours attractifs
Franchises: reçu par Mme Bachelot, un malade du sida poursuit sa grève des soins
Un malade du sida qui affirme mener depuis trois mois une grève des soins contre l'instauration des franchises médicales, Bruno-Pascal Chevalier, a indiqué avoir été reçu lundi par la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, et reste "déterminé" à poursuivre son mouvement, a-t-on appris mardi auprès de l'intéressé. Lors de cet entretien de trois quarts d'heures environ au ministère de la Santé en compagnie de la maire de Morsang-sur-Orge (Essonne), où il habite réside, Marjolaine Rauze (PC), Mme Bachelot a enjoint M. Chevalier à reprendre les soins. Ce travailleur social de 45 ans atteint du sida depuis vingt ans affirme avoir reçu de nombreux soutiens, notamment d'élus. "Cela me conforte dans l'idée que je dois continuer mon engagement pour lutter auprès des gens", a-t-il dit à l'AFP.
Cet ancien militant d'Act-Up et Aides a choisi de ne rendre publique son action qu'après l'entrée en vigueur, le 1er janvier, des franchises médicales. Ces franchises non remboursables à la charge des patients s'élèvent à cinquante centimes d'euros par boîte de médicaments et par acte paramédical et deux euros par transport sanitaire, dans la limite d'un plafond global de 50 euros par an.Refusant tout suivi médical pour n'engager "aucune dépense", M. Chevalier ignore de fait l'évolution de son état de santé, et se dit "fatigué", mais "garde la pêche".
Dans une lettre au président de la République, datée du 3 janvier, il explique sa démarche et déclare qu'"avec la franchise médicale, chacun de nous se sent responsable, voire coupable, d'être malade, et par cette faute, nous allons devoir payer pour l'accès à ce droit fondamental qu'est celui de la santé".
Pour signer la pétition en ligne :
Kleverware, Lauréat du Trophée de la création d’entreprise 2007
novembre 2007 La deuxième édition des trophées de l’entreprenariat de la Communauté d’Agglomération d’Evry Centre Essonne a eu lieu le 14 novembre au Théâtre de l’Agora à Evry. Cette année encore, 7 Trophées ont été décernés à des entreprises créatives, innovantes, respectueuses de leurs collaborateurs et clients, respectueuses de l’environnement, à des chefs d’entreprises créateurs et repreneurs d’affaires, qui font la richesse et le dynamisme du territoire.
KLEVERWARE, représenté par Bertrand AUGÉ, a ainsi reçu le Trophée de la Création d’entreprise. Ce trophée, remis en présence des représentants de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Essonne, de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Essonne, de la CGPME Essonne et du Medef Essonne, récompense les initiatives de Kleverware et de ses dirigeants dans la création d’emploi et le développement d’entreprise.
Á propos de Kleverware Kleverware, basé à Evry, est un éditeur de logiciels indépendant qui propose des solutions nouvelles dédiées au métier de la sécurité et de la gestion du risque. Développées en technologie .Net (Kleverware est certifié ISV/Software Solutions par Microsoft), ces solutions permettent de mettre en évidence et de traiter les anomalies relatives à la gestion des identités et des accès des utilisateurs d’un système d’information.
Née en 2005, d’une association entre Arnaud Fléchard et Bertrand Augé, Kleverware souhaite d’ici cinq ans devenir leader mondial sur son créneau. L’entreprise compte déjà parmi ses clients des noms prestigieux. Initialement associée aux domaines de la Banque et de l’Assurance, elle s’adresse aujourd’hui à tous les domaines d’activités dans une démarche internationale. La croissance de la société est spectaculaire. Débutée avec un capital de 10 K€, Kleverware annonce déjà une hausse de son chiffre d’affaire pour 2007 de près de 300 %. La société qui compte aujourd’hui 8 personnes prévoit d’embaucher au moins 7 personnes supplémentaires dans les mois à venir.
JEAN HARTZ ET MANUEL VALLS CONDAMNENT LE PROJET D'IMPLANTATION DE MAGASINS D'USINE A CORBEIL-ESSONNES
Le président de la communauté d'agglomération Evry Centre-Essonne et le député-maire d'Evry dénoncent le manque de concertations sur ce dossier. Ils insistent notamment sur les dangers économiques du département d'un tel projet.
Projet qui risque selon eux, à la fois de concurrencer les centres commerciaux déjà existant et de faire disparaître certains commerces, ce qui aurait des conséquences désastreuses en matière d'emplois. Jean Hartz et Manuel Valls demandent la mise en place d'une concertation avec l'ensemble des acteurs concernés.
Ce projet soutenu par le Maire et sénateur de Corbeil, Serge Dassault concerne essentiellement la venue du groupe Marques Avenue qui indique qu'il serait créateur de 300 emplois. Des enquêtes récentes indiquent que plus de 70 % de la population d'Evry et Corbeil sont plutôt d'accord sur ce projet.
Il est curieux de constater que le député et Maire d'Evry partisan de plus en plus affirmé de l'économie de " libre marché ", et qui s'appuie par ailleurs sur les sondages soutenant la suppression des Régimes spéciaux pour apporter son soutien au Gouvernement et à Sarkozy sur ce projet et sur celui de la remise en cause des 35 H intervienne ainsi sur ce dossier à contre courant de ces idées libérales et de son argumentation prônant l'avis majoritaire de l'opinion publique pour justifier toutes ses prises de position.
Serge Dassault en réponse à la lettre du Maire d'Evry et du Président de la Communauté d'Agglomération a précisé que Marques Avenue utiliserait une surface commerciale de 13 000 m2 située au centre commercial Art de Vivre (à l'agonie selon lui) et n'avait pas besoin d'autorisation préfectorale pour s'installer. Il a ajouté en outre que les enseignes Darty et Animalis sont partis suite à l'agrandissement du Centre Commercial Evry2.
Pour ce qui concerne les élus communistes de l'agglomération d'Evry ils se déclarent inquiets de ce projet commercial dont la viabilité ne repose que sur l'ouverture de ce magasin le Dimanche (plus de 40 % du chiffre d'affaire) en infraction au code du travail et de la loi et va entraîner une déstabilisation générale de l'activité commerciale sur l'ensemble de la zone, la fermeture de plusieurs dizaines de magasins et la suppression de centaines d'emplois.
Sean Mulryan candidat au rachat de l'hippodrome d'Evry.
Fermé dans un premier temps alors que l'Etat demandait aux sociétés de courses de faire des économies de structures, puis loué par Godolphin pour y installer durant quelques années (sans succès) son antenne européenne pour 2 ans, l'hippodrome d'Evry se morfond depuis dans l'abandon. Régulièrement, des rumeurs naissent quant à sa réouverture possible car s'il y a bien un regret chez les professionnels, c'est bien celui de cette fermeture. Voilà que le Parisien nous apprend que Sean Mulryan le célèbre entrepreneur irlandais, dont la casaque s’illustre au plus haut niveau depuis plusieurs années dans les courses d'obstacles en France (Bonbon Rose, Cyrlight, Mid Dancer, …) serait candidat au rachat de ce site pour la somme de 10 millions d'euros avec l'ambition de le transformer en centre de loisirs. Pour se faire, le comité de France galop doit se prononcer avant la fin de l'année. La saga Evry se terminerait alors définitivement pour espérons-le ouvrir les pages glorieuses du nouveau Longchamp. information publié dans Canal Turf
Le plus grand chantier hospitalier de France est lancé. Hier, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a posé la première pierre du futur hôpital géant de l'Essonne. Les travaux dureront jusqu'en 2011 sur le site de Corbeil, entre la cité des Tarterêts et le Genopole d'Evry.
Le coût des travaux est estimé à 344 millions d'euros. Le futur centre - qui regroupera et remplacera sur un seul lieu huit structures de soins de l'Essonne, parmi lesquelles les hôpitaux Gilles-de-Corbeil de Corbeil-Essonnes et Louise-Michel d'Evry-Courcouronnes - couvrira un bassin de population de 600 000 habitants.
" Ils n'auront plus besoin d'aller jusqu'à Paris "
" De nombreux Essonniens pourront rester dans le département pour se faire soigner, se félicite Michel Berson, le président PS du conseil général. Ils n'auront plus besoin d'aller jusqu'à Paris. " A l'horizon 2011, le nouvel hôpital pourra accueillir notamment 1 017 lits contre 772 actuellement. Mais aussi vingt salles de chirurgie au lieu de neuf aujourd'hui, ainsi qu'un plateau dédié à la rééducation et le regroupement de cinq unités cliniques en psychiatrie. Derrière ces chiffres flatteurs, la CGT s'inquiète de la mise en place d'un " hôpital en leasing (NDLR : location avec option d'achat), exactement comme une voiture ", selon les mots de Laurence Tinière, secrétaire générale du syndicat. Car le centre hospitalier sud francilien ne sera pas propriétaire de ses locaux. Ils appartiendront au groupe Heveil, qui assure la construction et la future maintenance des lieux. Un bail emphytéotique a été signé jusqu'en... 2041. D'ici là, chaque année, l'hôpital versera un loyer annuel de 38,8 M€, financé à 66 % par l'Etat. " C'est le début du basculement du secteur public dans le privé, s'inquiète la syndicaliste. Et concernant le nombre de lits, nous allons simplement revenir au même niveau qu'en 1995... " Le Parti Commniste Français et ses élus estiment que la construction de ce nouvel hôpital qui remplacera les deux hôpitaux actuels de Courcouronnes et de Corbeil est un des plus grand scandale financier de ce siècle au moment même où des mesures sont adoptées pour mettre en place des franchises et économiser sur le dos des usagers. Il se traduira par une diminution globale des lits proposés, des services et du personnel et laissera à Courcouronnes un immeuble immense (l'actuel hôpital) complètement à la dérive, un quartier, celui du Canal à l'abandon et une activité économique en déclin.
RASSEMBLEMENT DES BUFFALO
Les forces de l'ordre ont fait évacuer mardi matin le parking du Buffalo Grill de Viry-Châtillon (Essonne), occupé depuis le 8 juin par plusieurs dizaines de salariés sans-papiers démissionnaires, licenciés ou en grève, a-t-on appris auprès de la CGT et de la préfecture. L'expulsion, qui a eu lieu mardi à 6H00, s'est déroulée "sans incidents", a expliqué à l'AFP le secrétaire général de l'union départementale de la CGT Marc Roumejon.
Selon M. Roumejon, une soixantaine de sans-papiers étaient présents, ont quitté le parking, sur lequel une vingtaine de policiers ont pris place, tandis qu'une compagnie de CRS était postée dans la rue. Une réunion entre les représentants des sans-papiers, et la direction de Buffalo Grill doit se tenir mardi à la préfecture à 16H30. Une conférence de presse des sans-papiers doit avoir lieu devant la préfecture à l'issue de cette réunion, vers 18H00, selon la CGT. Ce recours à la force publique fait suite à la demande en ce sens de Buffalo Grill, suite à l'ordonnance d'expulsion du parking rendue jeudi matin. Le parking était occupé depuis le 8 juin par plusieurs dizaines de sans-papiers, en grève, démissionnaires ou licenciés de plusieurs restaurants, essentiellement en Ile-de-France, qui demandent leur régularisation.
Ils accusent la direction de les avoir embauchés en toute connaissance de cause. Un rassemblement s'est ensuite déroulé devant la Préfecture, où une délégation a été reçue par le Préfet.
BUFFALO GRILL : première victoire, 20 régularisations de salariés " sans papiers "
Depuis le 29 mai dernier, les salariés " sans papiers " en grève à Buffalo Grill, avec le soutien de l'Union Départementale CGT de l'Essonne, ont mené une lutte syndicale exemplaire. Depuis le 3 juillet, à l'invitation du Préfet de l'Essonne, les représentants du directoire de Buffalo Grill France et de l'Union Départementale CGT de l'Essonne (Marc Roumejon, secrétaire général et Raymond Chauveau, membre du Bureau de l'UD) ont participé à une table ronde déclinée en trois séances de travail et se terminant ce jour à 13 heures. Pour l'UD CGT 91 et l'ensemble des salariés " sans papiers ", la régularisation de 20 salariés " sans papiers " de Buffalo Grill est une première victoire.
La reconnaissance dans leurs droits pour ces salariés est le résultat d'une campagne syndicale avec le concours de plusieurs milliers de soutiens en France, en Europe et dans le Monde.
Photo et vidéo exclusives E-Mosaïque, article d'après AFP et correspondant.
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COEUR : L'AFM D'EVRY A L'HONNEUR
Des cellules souches embryonnaires humaines pour réparer le coeur
Agence France-Presse
Paris Les cellules souches embryonnaires humaines sont effectivement capables de se transformer en cellules musculaires cardiaques régénératrices, selon les travaux de chercheurs français sur des rats atteints d'infarctus qui viennent de paraître dans la revue spécialisée Stem Cells.
Ces cellules souches d'embryon, à l'origine de toutes nos cellules et tissus, constituent un espoir thérapeutique pour de nombreuses pathologies dans l'idée de pouvoir un jour s'en servir pour restaurer des organes, ou par exemple réparer un coeur endommagé par une attaque cardiaque (infarctus).
L'équipe Avenir-Inserm de Michel Pucéat (I-stem AFM, Evry, France) vient de montrer pour la première fois que des cellules souches embryonnaires humaines peuvent se transformer en cellules cardiaques au sein de coeurs défaillants de rats.
"Étape suivante : des tests sur des singes avec des chercheurs spécialistes de la régénération, notamment osseuse (Service de santé des Armées, Brétigny-sur-Orge, Essonne)", indique à l'AFP Michel Pucéat.
Les chercheurs se sont servis d'un facteur de croissance (dit "BMP2") pour préparer ces cellules souches humaines à se spécialiser (se "différencier").
Les cellules souches ainsi "orientées" dans leur évolution ont ensuite été implantées au niveau des tissus cardiaques endommagés de rats immunodéprimés et victimes d'un infarctus.
Au bout de deux mois, des cellules cardiaques humaines s'étaient développées dans la zone endommagée. Les cellules souches "orientées" se sont donc transformées en "cardiomyocytes" (cellules musculaires cardiaques) et les tissus cardiaques ont commencé à se régénérer.
Aucune tumeur ou inflammation, effets secondaires indésirables fréquents après ce genre de transplantation cellulaire, n'a été détectée, selon les chercheurs.
Ce travail a été réalisé en collaboration avec l'équipe du Pr Philippe Menasché (Inserm-hôpital Pompidou, Paris) en partenariat notamment avec l'Association Française contre les myopathies (AFM).
De nombreuses expérimentations ont été ou sont réalisées avec des cellules souches adultes (myoblastes, cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses), mais la preuve de leur différenciation en cellules cardiaques (cardiomyocytes) n'a jusqu'ici pas été apportée.
Sur les animaux, des études avaient déjà montré que les cellules souches embryonnaires animales pouvaient se différencier en cellules cardiaques et régénérer les tissus endommagés. Désormais, la démonstration est faite avec des cellules souches embryonnaires d'origine humaine.
Bien qu'il reste encore des études à faire pour affiner le procédé, "ces
résultats prometteurs ouvrent la voie à l'utilisation des cellules souches embryonnaires dans le traitement de la déficience cardiaque quelle que soit son origine", selon l'Inserm.
« Buffalo Grill profite du réseau des sans-papiers maliens »
Témoignages . Les salariés en grève du restaurant de Viry-Châtillon dénoncent le système de recrutement de l’enseigne au taureau rouge. D’une petite vingtaine, ils sont passés aujourd’hui à 65. La grève des sans-papiers de Buffalo Grill fait tache d’huile parmi le personnel francilien de la chaîne. Chaque jour, des nouveaux venus rejoignent les premiers salariés maliens qui, le 29 mai ont lancé le mouvement en investissant symboliquement le restaurant de Viry-Châtillon dans l’Essonne. Et si, vendredi dernier, la direction de Buffalo Grill a ordonné la fermeture du bâtiment pour « raison de sécurité », qu’importe, les grévistes se sont installés sur le parking. Tables, chaises, matelas et barnums à l’appui, ils occupent désormais l’espace jour et nuit.
« on veut travailler sans être inquiété » « Nous, tout ce qu’on veut, c’est travailler sans être inquiété », explique Djebril Koulibali, vingt-quatre ans, employé depuis deux ans du Buffalo Grill de Monthléry, à quelques kilomètres de Viry.
Comme ses collègues, il demande sa régularisation et veut poursuivre son CDI. Mais fin mai, le bruit court que des salariés des restaurants de Montgeron et Orgeval sont sur le point d’être licenciés pour avoir fourni de faux titres de séjour. « Ça a été la panique parmi la direction qui a eu peur que la police multiplie les contrôles, raconte Djebril. Mon manager me disait : "Si tu ne démissionnes pas, les flics vont passer, il faut que tu t’en ailles." ! » La direction, elle, se présente comme « victime » et prétend qu’avant ce printemps elle ignorait la présence de sans-papiers dans ses restaurants. « Ils m’ont abusé, affirme Erich Haraymczuk, le président du directoire de Buffalo Grill. « Aujourd’hui, la loi nous oblige à les licencier mais je veux bien les épauler dans leur demande d’obtention de papiers. »
Pas au courant Buffalo Grill ? Plusieurs témoignages tendent pourtant à prouver le contraire. Ainsi Diakité Seydou, employé en 2001. « Dès le début, je leur ai dit que je n’avais pas de papiers, le manager m’a dit que ce n’était pas grave. Ils m’ont donné une autre identité, pendant trois ans à Buffalo, je suis devenu Harouna Degoga. Sur la photocopie du contrat, la photo d’identité n’avait rien à voir avec mon visage. Et puis en avril 2004, il a fallu que je redevienne Diakité, ce qui leur a permis de ne pas compter mon ancienneté. » Licencié en 2005 suite à son arrestation dans le restaurant par la police des frontières, Diakité a cotisé pendant quatre ans mais ne bénéficie pas aujourd’hui des indemnités ASSEDIC. « T’es obligé d’obéir à ce que disent les managers, tu bosses cinquante-cinq heures payées trente-cinq mais t’as pas le choix », renchérit Konaté Tapa. Lui aussi a travaillé pendant cinq ans à Buffalo Grill sous une double identité : « Au travail, je m’appelais Souki Bimboulou mais la fiche de paie était au nom de Konaté Tapa. Mes relevés à La Poste en témoignent. » Un troisième collègue s’approche. « Buffalo Grill profite du réseau des sans-papiers maliens. Personne ici n’a été recruté sur CV. Quand la direction a besoin de quelqu’un, elle va voir un de ses salariés maliens en cuisine et lui dit : "Trouve-moi un cousin qui travaille dur comme toi et qui ne se plaint pas." C’est une sorte de phrase code pour ne pas prononcer le mot sans-papiers. »
Pour ne pas devenir « coupables » d’un système dont ils sont « victimes », les salariés de Buffalo Grill multiplient les actions. La semaine dernière, ils ont participé à une manifestation dans les rues d’Évry aux côtés des familles sans papiers qui occupent l’église Saint-Paul de Massy. Manière de « bien faire comprendre qu’ils iront jusqu’au bout », lance Raymond Chauveau, de l’union départementale CGT. « Le nombre de grévistes et le nombre de restaurants touchés (25) montrent que ce n’est pas l’action isolée de quelques managers : employer des sans-papiers est le système utilisé par la direction nationale de Buffalo Grill pour flexibiliser et exploiter sa main-d’oeuvre. » En attendant que la préfecture de l’Essonne se prononce, un panneau a été apposé par Buffalo Grill sur la porte d’entrée du restaurant de Viry-Châtillon : « Fermeture exceptionnelle : suite à un mouvement d’occupation par des salariés ayant présenté des faux papiers, le restaurant a dû fermer ses portes »...
Christelle Chabaud, l'Humanité
Frédéric Bourges, chaudronnier à la SNECMA, militant syndical, membre du Parti Communiste Français, habitant Corbeil et Annick Jeannette-Stiti ingénieur à Altis, militante syndicale et membre de la confédération paysanne, membre du conseil d’administration du Collège Montesquieu à Evry, habitante à Evry, non membre du PCF sont candidats à l’élection législative sur la 1 ère circonscription de l’Essonne et représenteront la Gauche anti-libérale et Populaire. Les axes de campagne qu’ils développeront sont liés à l’emploi, aux salaires, à la retraite, à la santé à la protection sociale, au droit au logement, au Service public, au droit aux transports, à la qualité de l’environnement, à une nouvelle démocratie pour participer et décider ensemble.
Déjà plusieurs centaines de personnalités ont apporté leur soutien à ces candidatures dont Dina Bacalexi responsable de la Section du PCF de Corbeil, Jean Marc Baudoin responsable de la Section du PCF d’Evry, Klaus Becker maître assistant à l’Université d’Evry, Gérard Birebent syndicaliste habitant de Lisses, Monique Charolle conseillère municipale de Lisses, Claudette Chaduteau membre du bureau de la communauté d’agglomération d’Evry centre, Roger Combrisson, député et Maire honoraire de Corbeil, Diego Diaz Maire adjoint d’Evry, Elizabeth Fiorentino syndicaliste de la SNCF à Corbeil, Yveline Kerdaffrec professeure à l’université d’Evry, José Kinkela, amicale des locataires des Tarterets à Corbeil , Jean Claude Laurent maire adjoint d’Evry, Patricia Mbimbi infirmière, conseillère municipale d’Evry, Bruno Piriou, conseiller général et municipal de Corbeil…
BONDOUFLE : LA COLERE DES ENSEIGNANTS
Les professeurs du lycée François Truffaut de Bondoufle ne sont pas contents. Ils protestent contre la baisse des dotations d'horaires qui vont se traduire pour la rentrée 2007-2008 par une baisse des cours en latin, langues vivantes, sport…
Ils considèrent que c'est une école à deux vitesses qui est aujourd'hui ainsi proposée.
Celle du privé favorisant aux plus favorisés tout ce dont ils ont besoin pour préparer leur avenir, et un enseignement public proposant un bac au rabais sans perspective d'avenir.
Le conseil municipal d'Evry a voté également une motion s'opposant à la suppression de centaines d'heures de cours dans les collèges et lycées de la ville, largement supérieure à la diminution des effectifs scolarisés invoquée par l'éducation nationale et le gouvernement pour justifier la diminutions des heures de cours.
LA SCIENCE S'INVITE AU CENTRE COMMERCIAL
Du 31 Mars au 14 Avril prochain, le Centre Commercial Evry 2 reçoit 2 expositions de la Cité des Sciences et de l'Industrie qui seront accessibles gratuitement au public.
L'exposition "Terre, Terre !" se présente en une succession de 15 thématiques, associées à 24 manipulations ou expériences, et invite à prendre conscience du rôle que chacun joue dans la gestion du patrimoine terrestre.
L'exposition "Tous Pareils, Tous Différents" propose aux enfants de faire la carte d'identité de 6 de leurs caractères génétiques visibles, afin de comprendre que la combinaison de l'ensemble des caractères génétiques d'un homme fait de lui un être unique.
Un jeu ouvert au public d'Evry 2 fera gagner 230 places pour l'exposition "Seuls dans l'Univers" qui se tient à La Villette jusqu'au 22 Juillet 2007. Les écoles et collèges de l'Essonne sont invités à venir avec leurs classes visiter ces expositions avec une proposition de participer à un concours qui fera gagner à 3 classes une journée à La Villette à une date de leur choix, transport inclus.
RER D REUNION PUBLIQUE A EVRY
Après St Fargeau, Villeneuve St George, Maison Alfort et avant St Denis, Lieussaint et Yerres c'est à Evry que s'est déroulé une réunion publique sur le RER D organisée par Réseau Ferré de France représenté par François Tainturier, la SNCF représenté par le Directeur de la ligne D, M. Bernard Gardin et le représent du Syndicat des Transports Parisiens de l'Ile de France, M. Laurent Fortune.
La salle du conseil municipal de la Mairie d'Evry était trop exigue pour accueillir les 600 personnes présentes pour venir témoigner et écouter les propositions des organisateurs de cette réunion.
La discussion a été vive mais toujours correcte. Les témoignages sur les vécus des usagers ou les propositions ont été nombreux.
La situation sur cette ligne est considérablement dégradée avec un retard cumulé de plus de 20 % des trains le soir. Les raisons invoquées et reconnues sont nombreuses : manque d'effectifs dans les gares ou les trains, manque d'informations, infrastructures insuffisantes, matériels défaillants, actes d'incivisme…
A noter qu'aucun intervenant n'a mis en cause les grèves ou le droit de grève .
L'Etat, mais surtout la région et les département de gauche ont décidé de consacrer plus de 220 millions d'€uros pour améliorer cette ligne emprunté tous les jours par plus de 510 000 usagers.
A l'issu de cette réunion pour 2008 la totalité des usagers, des élus et des représentants des usagers ont retenu pour 2008 un scénario permettant une amélioration du trafic tout en maintenant l'ensemble des dessertes.
Pour l'horizon 2012 (après les investissements proposés) le débat reste ouvert, mais la proposition d'une desserte finale à Paris Bercy a été rejeté, cette gare étant peu accessible. VOIR LE REPORTAGE VIDEO EXCLUSIF E-MOSAIQUE
Gratuité des transports en Ile-de-France Les RMIstes peuvent appeler au 0 800 948 999 pour obtenir un coupon gratuit (Forfait gratuité transports) COMMUNIQUE
Le groupe Commnuiste et Républicains au conseil régional d'Ile-de-France s'est beaucoup investi pour obtenir une mesure forte de gratuité pour les plus démunis dans les transports publics d'Ile-de-France. Un financement que l'assemblée régionale a adopté en juillet dernier. C'est donc avec la plus grande satisfaction que les élus du groupe constatent que le calendrier prévu va être tenu pour l'octroi de la gratuité des transports publics pour les RMIstes et leurs ayants droits (près de 400 000 personnes en Ile-de-France).
Ceux-ci vont pouvoir disposer de coupons gratuits à partir du 1er avril 2007, comme annoncé il y a quelques mois. Dès aujourd'hui, il est possible pour tous les RMIstes d'Ile-de-France d'appeler au 0 800 948 999 (numéro d'appel gratuit) pour remplir un dossier. A la suite de cela, un coupon gratuit (Forfait gratuité transports) valable à partir du 1er avril 2007 leur sera transmis. La gratuité des transports publics pour les plus démunis devient une réalité. L'obtention d'une réduction de 75 % sur les coupons carte orange pour tous les bénéficiaires de la CMU, de l'API et de l'ASS depuis le 1er septembre 2006 (1 million de personnes) a été un succès : on a déjà constaté une forte hausse du nombre de cartes solidarité transport qui donnent droit à cette réduction sans que cela couvre encore l'ensemble des bénéficiaires potentiels. L'obtention de la gratuité pour les RMIstes est un formidable encouragement pour les élus du groupe CACR et pour tous ceux qui se sont battus depuis des années pour de telles mesures, en particulier les associations de chômeurs et de précaires. Une première étape majeure sur la route de la gratuité pour tous les chômeurs et personnes à revenus inférieurs au SMIC.
MG BUFFET AU SYNCHROTON
La candidate a rencontré les scientifiques de ce centre de recherche situé dans l’Essonne et détaillé ses propositions.
La politique, c’est un peu comme la physique. On pose une hypothèse et on la teste. Expérience in vivo, hier, par Marie-George Buffet face à une trentaine de chercheurs du synchrotron Soleil, dans l’Essonne, où l’on scrute l’intimité de la matière. Prière de donner des réponses claires et précises. Attendue, donc, la candidate de « la gauche populaire et antilibérale » a repris la substance de son discours tenu lors de l’université d’automne de l’association Sauvons la recherche, en novembre dernier. Avec un prérequis : une gauche « déterminée » commencerait par l’abrogation du « Pacte pour la recherche », adopté au printemps 2006 par la majorité et qui privilégie les projets sur appels d’offre à la prospective sur le long terme. Cette même gauche remettrait sur la paillasse les propositions concoctées par les blouses blanches lors des états généraux de la recherche, à Grenoble en 2004. Ce qui, dans l’esprit de la candidate, signifie un renforcement des organismes publics, une revalorisation des universités et la résorption de la précarité des jeunes chercheurs. En terme de moyens, cela débouche sur un doublement des crédits alloués à la recherche publique, le maintien de l’objectif de 3 % du PIB investi dans le domaine - public et privé confondus - et une refonte de la fiscalité sur les sociétés.
« Tous les candidats nous annoncent 3 % du PIB. Comment les financer ? », s’emporte une chercheuse. Un autre, de renchérir : « 3 % pour quoi faire ? Quelles parts pour le privé et le public ? » Réponse : il faut repenser tout le budget de l’État. En particulier la fiscalité sur les sociétés, en accordant des « bonus » aux entreprises qui investiraient dans la formation du personnel et dans la recherche. Celles qui privilégieraient les dividendes des actionnaires paieraient plein pot. Les universités recevraient d’avantage de moyens, leur fonctionnement serait « démocratisé », et les étudiants mieux épaulés. Mais il n’est pas question, dans le programme de la candidate de « la gauche populaire et antilibérale » de sacrifier la recherche privée. Au contraire, public et privé ont besoin de coopérer, ce qu’un grand organisme public de recherche technologique et industrielle serait chargé d’assurer. À l’image, propose Marie-George Buffet, du synchrotron Soleil, financé par des fonds publics, mais en partenariat avec des entreprises privées. Soleil, source d’inspiration pour la candidate ?
Vincent Defait
NOOS - NUMERICABLE
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a décidé de placer Noos-Numéricable sous surveillance à cause des nombreuses plaintes de ses abonnés. La DGCCRF a rencontré jeudi le président du câblo-opérateur qui a prévu de présenter des mesures, les moyens alloués et le calendrier lors d'une conférence de presse le 7 mars. Devant l'avalanche de plaintes des abonnés de Noos-Numéricable, la DGCCRF vient de se saisir du dossier. Elle a annoncé dans un communique vendredi qu'elle plaçait le câblo-opérateur, qui propose de la télévision, de l'accès internet et du téléphone, sous surveillance. La DGCCRF précise qu'elle va exercer "à ce titre une vigilance accrue en 2007, y compris par la voie répressive". Elle confirme aussi qu'elle a reçu jeudi le président de Noos-Numéricable, Philippe Besnier, dans le cadre d'une série d'auditions entamées début février avec "les principaux opérateurs de communications électroniques". "Au cours de cette réunion, l'opérateur a reconnu la réalité des dysfonctionnements à l'origine du mécontentement manifesté par ses abonnés", souligne le communiqué. La DGCCRF a demandé à Philippe Besnier de donner "rapidement des réponses concrètes" sur les quatre points qui sont les "principaux motifs d'insatisfaction de sa clientèle". A savoir, "la qualité et la performance du service technique", "la facturation et la gestion des dépôts de garantie", les "difficultés de traitement des réclamations et des demandes de résiliation" et les "difficultés à joindre un interlocuteur". Le président de Noos-Numéricable a indiqué qu'il allait présenter des mesures, les moyens alloués et le calendrier lors d'une conférence de presse le 7 mars. Une nouvelle rencontre est prévue avec la DGCCRF fin mars. Noos-Numéricable est confronté depuis plusieurs semaines à la colère de plus en plus de ses abonnés qui ont des soucis de facturation à cause de la migration des serveurs informatiques du câblo-opérateur des Pays-Bas vers la France. Une association baptisée "Les déçus du câble" a même porté plainte début février pour "publicité mensongère, abus de biens sociaux et tromperie
LA COLERE DES HOSPITALIERS
Le personnel paramédical des urgences du centre hospitalier Sud-Francilien (Essonne) a décidé de poursuivre la grève visant à obtenir un renforcement des équipes, a-t-on appris lundi auprès de la CGT de l'établissement. A l'appel de la CGT, Sud et FO, les infirmiers et aides-soignants des services d'urgence se sont mis en grève mardi 6 février pour demander la création de huit postes d'infirmiers et 11 postes d'aides-soignants ainsi que le renforcement du service infirmier de compensation et de suppléance (Sics), appelé également "pool de remplacement", avec la création de 10 postes. Les urgences médicales sur le site de Corbeil et les urgences chirurgicales sur le site d'Evry prennent en charge 56.000 passages par an. Selon la CGT, ils disposent de 50 infirmiers diplômés d'Etat (IDE) au tableau des emplois en équivalent temps plein (ETP) et 22 aides-soignants, également répartis entre les deux sites. La direction indique pour sa part que les deux sites disposent de 26 et 27 postes d'IDE.
La direction a indiqué à l'APM que le taux de mobilisation global sur les deux sites s'élève lundi à 74%: 14 grévistes assignés sur 14 membres du personnel appelés à être présents au service des urgences de l'hôpital Gille de Corbeil à Corbeil-Essonnes et six grévistes assignés sur 13 membres du personnel appelés à être présents au service des urgences de l'hôpital Louise Michel d'Evry-Courcouronnes. "Les médecins sont solidaires du mouvement", a affirmé à l'APM Laurence Tinière, secrétaire CGT du CH Sud-Francilien. La direction a rencontré les représentants des grévistes et a proposé de porter l'effectif cible d'IDE à 29 pour chacun des sites. "Afin d'atteindre cet objectif au plus tard fin avril 2007, des créations de postes seront réalisées", indique-t-elle dans la note dont APM a eu copie. A partir des chiffres de la direction, cela correspond à "quatre ou cinq postes" qui seront créés par l'établissement sans crédits supplémentaires, a indiqué lundi à l'APM le secrétaire général de l'établissement, Yann Bubien.
De plus, la direction a décidé de constituer un groupe de travail avec les syndicats avant le deuxième trimestre pour fixer l'effectif cible pour chaque service et mettre en place une organisation des remplacements. Pour les aides-soignants, une évaluation des besoins est nécessaire, a précisé Yann Bubien.
Une nouvelle rencontre entre les syndicats et la direction a eu lieu. Toutefois, les syndicats considèrent que les propositions ne sont pas satisfaisantes car ils demandent la création immédiate des postes demandés. Ils ont donc décidé de poursuivre la grève.
Les syndicats ont demandé à rencontrer le président du conseil d'administration et député-maire UMP de Corbeil-Essonnes, Serge Dassault, le directeur de l'Agence régionale de l'hospitalisation d'Ile-de-France (Arhif), Jacques Métais, ainsi que les représentants des collectivités locales, également membres du conseil d'administration.
Le conseil général de l'Essonne s'oriente vers une délégation de service public
L'assemblée départementale de l'Essonne a voté son programme en faveur du développement des réseaux de communications électroniques et des services haut et très haut débit, le 29 janvier à Evry. "Avec cette délibération, la majorité départementale affirme sa volonté de garantir à tous les Essonniens l'accès au haut débit et au très haut débit", a expliqué le président, Michel Berson. Le projet prévoit de doter l'Essonne d'une dorsale optique départementale qui aura une double vocation.
Premièrement, un réseau de collecte irriguant l'ensemble du territoire passera, au plus, à quelques kilomètres de tout utilisateur. Ce réseau sera interconnecté avec ceux des opérateurs privés présents dans l'Essonne et avec les réseaux publics voisins (Yvelines, Seine-et-Marne, Sipperec, Loiret). Deuxièmement, un réseau de desserte sera déployé pour certains utilisateurs. Son tracé sera défini pour qu'il traverse des zones comportant d'importants foyers d'utilisateurs (ZAE d'intérêt départemental, zones d'habitat collectifs) et qu'il desserve des sites d'intérêt spécifique (aéroport d'Orly, sites majeurs du conseil général, universités, centres de recherche et lycées notamment). Comme pour la majorité des réseaux départementaux, l'Essonne étudie l'opportunité d'une délégation de service public (DSP) de type concessive, pour un réseau passif (fibre optique noire), c'est-à-dire que le délégataire construit, exploite, maintient et commercialise le réseau. A l'horizon 2009, le réseau pourrait atteindre 490 km pour une couverture de l'ensemble du territoire essonnien. Son coût en hypothèse haute atteindrait 38 millions d'euros. Les financements publics seront fixés à 26,6 millions d'euros, pris en charge à parité par le conseil général et le conseil régional (soit 13,3 millions d'euros chacun).
175 000 clés USB pour les lycéen-nes et apprenti-e-s d’Ile-de-France
En séance du Conseil régional d’Ile-de-France du 1er février, le groupe CACR a fait adopter un rapport visant à équiper d’une clé USB d’1Go (un gigaoctet) 175 000 lycéen-ne-s de seconde et les apprenti-e-s de première année, et ce dès la rentrée prochaine. Conçues comme un « bureau mobile » qui intégrera des logiciels libres : une suite bureautique, un navigateur Internet, un client de Messagerie Email, une messagerie instantanée, un logiciel de lecture audio et vidéo et d’autres logiciels. L’objectif est de permettre aux lycéen-ne-s et apprenti-e-s de maîtriser l’univers informatique. En effet, les TIC (technologies de l’information de la communication) sont de plus en plus présentes et indispensables au quotidien, notamment dans le domaine professionnel mais aussi dans le domaine de l’enseignement.
Pour Alain Girard, conseiller régional CACR et président de la commission lycée, qui a présenté au nom du groupe Communiste ce rapport, cette décision représente une avancée supplémentaire dans la lutte contre la fracture numérique. Le Conseil régional a fait le choix depuis plusieurs années de soutenir le développement de l’usage des TICE (technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement) en faveur des lycéen-ne-s : un ordinateur pour 3,3 lycéen-ne-s, des espaces numériques de travail, soutien l’accès au débit, accompagnement scolaire par internet…
En offrant la possibilité à 175 000 lycéen-ne-s et apprenti-e-s de posséder leur propre clé USB, et de la conserver pendant leur scolarité, le groupe CACR souhaite que la Région s’engage davantage contre la fracture numérique et renforce le rôle du lycée et du CFA dans l’appropriation des nouvelles technologies. Pour Gabriel Massou, président du groupe CACR, il est important de continuer à réduire la fracture numérique pour lutter contre les inégalités sociales, territoriales et culturelles.
Le meneur de bande a 13 ans
Trois jeunes d'Evry comparaissaient au tribunal de grande instance pour une série d'agressions ces dernières semaines dans les quartiers du Village et du Champtier-du-Coq ou près de la gare de Grand-Bourg. Les victimes, en général des jeunes lycéens, étaient abordées par l'un des garçons lorsqu'elles étaient seules ou dans des rues isolées. Le voleur sortait alors son couteau et les menaçait pour se faire remettre téléphones portables, lecteurs numériques type iPod ou MP3.
Mais les rackettés n'avaient pas intérêt à se rebiffer, sinon les coups pleuvaient. L'agresseur se faisait parfois aider d'un complice. Dans un cas même, une victime verra son blouson lacéré de plusieurs coups de couteau. Très vite, les policiers d'Evry font le rapprochement entre les affaires. Ils vont alors s'intéresser à un jeune de 13 ans et demi qui avait déjà commis en décembre 6 agressions du même genre et dans le même quartier. Ce dernier devait être convoqué par la justice.
19 agressions ont été commises en trois semaines Mercredi matin, les policiers ont procédé à son interpellation dans le secteur des Champs-Elysées. Ce mineur était déscolarisé depuis quelques semaines et en fugue. Quelques heures après, ses deux complices de 15 ans et 16 ans et demi résidant place Troisdorf ont été placés en garde à vue. Au total, ce sont 19 agressions qui ont été commises en trois semaines. Tous connus des services de police, ces jeunes gens étaient également à l'origine d'un sentiment d'insécurité dans leur quartier, selon une source proche de l'enquête.
A.V., Le Parisien , samedi 27 janvier 2007
EXPULSION DES ROUMAINS (suite)
Le squat des Rom de Palaiseau (Essonne) a été, démoli après évacuation de ses occupants.
La section du Pcf de Palaiseau et les élus communistes ont appelé à une manifestation devant la sous-préfecture de Palaiseau. Ils ont indiqué : " 200 personnes sont ainsi jetées à la rue dans notre " beau pays ", au moment où tout le monde rend hommage à l'Abbé Pierre. Qui peut croire que le jour où l'hiver s'installe, mettre ces familles à la rue, les chasser de leurs abris précaires va contribuer à améliorer leur sort ? Pourquoi ce refus permanent de réunir une table ronde au niveau départemental afin d'envisager les solutions. Cette expulsion ne règle aucun problèmes… ".
Celle ci est prévu le mois de janvier au plus tard...
200 personnes vont ainsi se retrouver à la rue...( ou dans des charters pour la Roumanie ??? )
Il s'agit de deux tiers de Roms et d'un autre tiers de roumains, il s'agit aussi d'enfants dont plusieurs sont scolarisés.
Des solutions existent. La DDE possède des pavillons qui auraient pu être réquisitionnés, Des fonds disponibles existent à la région et la SNL est d'accord pour encadrer les opérations d'insertions par le logement.... Une opération est en cours dans un pavillon squatté avec l'aide du collectif. Une association dite d'insertion par le logement, la SNL, a lancé la rénovation, elle achète les matériaux, elle surveille le chantier qui est réalisé par les Roumains eux mêmes. Reste pour les associations a empêcher que ces familles, qui ne sont plus sur le campement visé par l'expulsion prévue pour le 8 janvier, ne soient elles mêmes expulsées ( à un autre moment ?). l
Elles ont tous des enfants scolarisés mais leurs dossiers on été rejetés... Plusieurs associations se sont adressées au Préfet pour demander que cette expulsion soit annulé. De nombreux élus, dont Serge Guichard Maire adjoint communiste de Palaiseau sont également intervenus.
Le nouveau schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF) est en cours de négociation, et la Région a dévoilé son avant projet fin novembre. Il comporte - comme on pouvait s'y attendre - de nombreux projets de développement des transports en commun.
Pour notre région les projets suivants sont prévus
Les tramways à l'honneur réalisation d'un tramway (sans doute sur pneus) Evry - Sénart (mise en service avant 2013) ;
prolongement du tramway Villejuif - Athis-Mons jusqu'à Juvisy (mise en service avant 2013) ;
réalisation de la Tangentielle Sud, en tram-train, de Versailles-Chantiers à Corbeil-Essonnes via Massy-Palaiseau et Evry-Courcouronnes (mise en service progressives entre 2013 et 2030).
Les bus en site propre arrivent
De nombreuses lignes de bus en site propre sont également prévues dans le projet, dont certaines pourraient devenir des lignes de tramways selon le résultat des études préliminaires et le tracé choisi :
achèvement du site propre bus Saint-Quentin - Massy (mise en service avant 2013) ;
achèvement du site propre bus RN 305 (mise en service avant 2013) ;
création d'un TCSP Melun - Sénart (mise en service avant 2013) ;
création d'un TCSP Massy - Les Ulis (mise en service avant 2013) ;
création d'un TCSP Massy - Orly (mise en service entre 2013 et 2020) ;
création d'un TCSP " Centre-Essonne " à partir du site propre existant de la ville d'Evry (mise en service progressive entre 2007 et 2020) ;
création d'un TCSP " RN 20 " Massy - Arpajon (mise en service entre 2013 et 2020) ;
création d'un TCSP " axe Francilienne " Evry - Val d'Orge (mise en service entre 2020 et 2030) ;
RER et Transilien : amélioration de l'existant et création de tangentielles
Les mesures réclamées de longue date par les usagers sont prises en compte par le projet :
amélioration de la capacité et de la fréquence des trains, et résorption des " points noirs " avant 2020 ;
construction d'un nouveau tunnel RER entre Châtelet et Gare du Nord (mise en service entre 2020 et 2030